Comment les petits rituels quotidiens nourrissent l’estime de soi

Comment les petits rituels quotidiens nourrissent l’estime de soi

Chaque petit rituel, c’est un acte d'amour envers moi-même que je me fais.

J’ai longtemps cru que l’estime de soi, ça se construisait à coups de grandes réussites, de tournants spectaculaires ou de décisions radicales. Comme s’il fallait « prouver » sa valeur, faire ses preuves encore et encore. Finalement, en faisant cela, je cherchais la validation extérieure en permanence... et cela ne m'aidait pas à construire mon estime de moi.

Ce que j'ai découvert avec le temps, c’est que ça se joue ailleurs.
Dans quelque chose de beaucoup plus doux. Plus discret. Presque invisible.

Mon estime de moi, elle se tisse dans les gestes simples.
Dans ces petits rituels du quotidien que je choisis de répéter avec intention et présence.

 

C’est quoi un rituel, pour moi ?

Pas besoin d’encens ou de chants sacrés (même si honnêtement, j’adore ça parfois).
Un rituel, pour moi, c’est un geste que je fais en conscience. Quelque chose de répété, avec une intention claire.

Ça peut être tout simple :

  • Purifier mon espace avec de la sauge, faire de l'espace chez moi et dans ma tête
  • Tirer une carte le matin, juste pour poser une énergie
  • Aller au yoga pour m'offrir en moment d'écoute de mon corps et mon esprit
  • Écrire dans mon journal ce qui me pèse, ou ce qui me touche
  • Ou juste boire une tisane dans mon sofa, sans scroll ni bruit

Ce n’est pas tant le quoi qui compte, c’est la qualité de présence que j’y mets.

 

Pourquoi ces gestes comptent ?

Parce qu’à chaque fois que je répète un rituel, même tout petit, je m'envoie un message d'amour à moi-même. Ça change tout et c'est ça le socle de l'estime de soi.

Petit à petit, je recrée une forme de sécurité intérieure.
Je développe une relation de confiance avec moi-même.
Je reprends mon pouvoir sur mon propre bien-être.

Pas besoin que ce soit parfait, pas besoin que ce soit de grandes réussites. Il faut que ce soit simple et sincère.

 

Avec amour,
Laura.

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